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M.
Abdelhamid BOUTEFAH (Suisse)
"En tant que tangérois (annèe de naissance 1954)
je serais interessé à un forum de discussion sur
ma ville natale et surtout d'entrer en relation avec les tangérois
de par le monde." (Jeudi 9 Juillet 1998)
M.
Oussama ZEKRI (France) : réponse à M. BOUTEFAH
"Bienvenu au forum de discussion sur Tanger. J'espère
que d'autres personnes se joindront à nous. Peut-être
que nous pourrions commencer notre discussion par votre avis sur
le contenu du site ?" (Jeudi 9 Juillet 1998)
Morad
REGRAGUI (France)
"Je suis heureux de rencontrer sur le WEB
des Tangérois qui, comme moi, se soucient de Tanger et de
son avenir. J'habite à Lyon et j'ai 22 ans." (Jeudi 20
Août 1998)
M.
Louis BENZAQUEN (France)
"Trés heureux d'avoir trouvé un forum de discussion
sur Tanger, je me joins à vous. Je suis né à
Tanger en 1954 (moi aussi!) et j'ai fréquenté l'école
Berchet et le Lycée Régnault. J'ai habité rue
Sir john Drumond Hay (à coté de l'école italienne)
puis rue de Fez. J'ai quitté Tanger en 1969 mais je reste
avant tout Tangérois. J'ai créé un site sur
Tanger avec une page de liens sur laquelle je recense des sites
qui font référence à Tanger. Ce site comportera
également des cartes postales anciennes de Tanger. La "toile"
tangéroise est en train de naître. A bientôt."
(Mercredi 2 Septembre 1998)
Oussama
ZEKRI : réponse à L. BENZAQUEN
"Bienvenu au forum et merci pour ces informations personnelles
qui nous permettent d'avoir un aperçu de la personnalité
et du parcours de nos correspondants. J'ai visité votre site
sur Tanger et je l'ai trouvé splendide. Je conseille vivement
la visite de ce site que je trouve personnellement très élégant.
Vivement que d'autre sites de cette qualité soient créés
à propos de Tanger. J'espère que ce forum servira
de lieu de partage des connaissances, en particulier pour la création
de sites sur Tanger ... Alors, à vos claviers et à
bientôt." (Jeudi 3 Septembre 1998)
Karima
BOULOU (France)
"Je viens de découvrir le site et je le trouve très
bien sauf que ça manque un peu d'images. Sinon, j'ai été
tres contente de voir que je n'étais pas la seule à
aimer Tanger, le pays que j'aime même si je ne le conseille
pas aux personnes qui ne savent pas s'amuser ??????????" (Mardi
6 Octobre 1998)
Oussama
ZEKRI : réponse à Karima BOULOU
"Merci de votre encouragement. Le manque
d'images s'explique par le fait que je ne mets que mes propres diapositives
mais, si vous avez des photos que vous aimeriez voir sur le site,
n'hésitez pas à m'en envoyer des copies ! A bientôt."
(Mercredi 7 Octobre 1998)
Najlaa
BENSALAH (France)
"Bonjour, je ne suis pas de Tanger mais je suis une fille dont
les parents sont nés à Tetouan et je m'y rends chaque
année. Par conséquent, je connais bien la ville de
Tanger où ma mère a passé une partie de son
enfance. Je n'ai que 19 ans et je n'ai pas eu l'occasion de vivre
au Maroc ce qui, je pense, m'aurais enchanté." (Jeudi
6 Octobre 1998)
Oussama
ZEKRI : réponse à Najlaa BENSALAH
"Bienvenue au forum. Si dans votre famille ou votre entourage,
vous avez des témoignages sur la ville de Tanger dans les
précédentes décades, envoyez-les moi afin de
créer une nouvelle rubrique. Merci et à bientôt."
(Mercredi 7 Octobre 1998)
Ouassim
ELARROUSSI (Maroc)
"Que dire sinon que cette adorable ville reste la chose la plus
chere de ma vie. Des souvenirs de belle vie me reviennent du temps
du Lycée Ibn Al Khatib. Je n'ose pas penser que la paresse
m'a empêché de faire un site web sur ma ville natale.
Merci Oussama." (Dimanche 18 Octobre 1998)
Fabrice
COPPIN (France)
"Bonjour aux Tangérois(es) . Dans le cadre du développement
de la communauté euro-méditerranéenne sur diwan.net
nous serons à Tanger entre le 25 octobre 98 et le 3 novembre
98. Cette communauté a pour but de faire émerger toutes
les expressions des habitants des villes de l'espace euro-méditerranéen.
Cet espace de dialogues, de rencontres et des expressions à
pour but de mettre à jour les réalités et les
richesses produites par toutes celles et ceux qui habitent au nord
et au sud du bassin méditerranéen. Se reconnaître
dans une communauté virtuelle vivante pour permettre de rapprocher
des personnes, des associations, des ONG, des réseaux. Après
un premier lancement sur Marseille c'est au tour de Tanger de rentrer
dans la dynamique. Nous souhaiterions lors de notre passage à
Tanger pouvoir rencontrer des personnes qui pourraient, avec nous,
se joindre à cette dynamique. Dans un premier temps nous
aimerions rencontrer un jeune qui pourrait nous aider à nous
mettre en contact avec des associations, des cyber cafés,
des lieux phares, des figures tangéroises. Si après
avoir fait un tour sur diwan.net vous vous sentez interressé
pour développer l'animation et la production du site depuis
Tanger, contactez-nous dès maintenant à dia@.diwan.net
ou au 33 4 91 90 78 00. A très bientôt..." (Dimanche
18 Octobre 1998)
Hicham
ELMOURABIT (Canada)
"Salut ! Je voudrais participer aux discussions et en savoir
un peu plus sur les activités du groupe." (Mardi 20 Octobre
1998)
Oussama
ZEKRI : Réponse à Hicham ELMOURABIT
"Bienvenu au forum. Ceci est un espace de dialogue et de partage
et les participants ne constituent en aucune manière un groupe.
Notre seul point commun est l'intérêt que nous portons
à la ville de Tanger. A bientôt." (Mardi 20Octobre
1998)
Nadia
SABERE (USA)
"J'aimerais retrouver des anciens du Lycée Regnault de
Tanger, de l'année du Bac 1988." (Vendredi 30 Octobre
1998).
Bouchra
BAKACH (Allemagne)
"Salut. Je suis tangéroise ... mais je suis mes études
en allemagne ... Ce site m'a beaucoup interessée ... surtout
quand j'ai trouvé beaucoup de personnes qui aiment cette
très belle ville... A bientôt..." (Dimanche 1er
Novembre 1998)
Louis
BENZAQUEN (France) : Réponse à Nadia SABERE
" http://www.lyceefr.org/
est le Site des Anciens Elèves des Lycées
Français du Maroc. Certains d'entre eux laissent une
adresse E-mail. Bonne Chance et à bientôt." (Dimanche
8 Novembre 1998)
Saïd
MADANI (Maroc)
"Super ce site ! C'est grâce à Louis Benzaken que
je l'ai trouvé. Bien que non tangérois, je peux apporter
une petite contribution à ceux qui recherchent leurs copains
de terminale du Lycée Regnault : ils sont peut-être
repertoriés sur le site que j'ai monté : www.lyceefr.org
. Salut à tous!" (Lundi 9 Novembre 1998)
Oleg
VARGAS GANZELEVITCH
"Page personelle (de débutants!) http://www.club-internet.fr/membres/tanger.
Merci pour ton site et à bientôt. Oleg." (Lundi
9 Novembre 1998)
[Note
du Webmaster : ce site s'adresse particulièrement aux anciens
du Lycée Régnault.]
Oleg
VARGAS (France)
"En projet, pour ceux qui n'ont pas le net : création
d'un bulletin trimestriel des anciens de Tanger (toutes écoles
admises et toutes les langues sauf l'Arabe pour des raisons strictement
typographiques, hélas!).
Que ceux qui sont intéressés à collaborer
(inch'allah!) ou seulement à s'abonner contactent svp
Oleg VARGAS, 1- place du Vieux Marché 30610-SAUVE (FRANCE),
ou Téléphonent au (33) 04 66 77 58 76
ou e-mail : tanger@club-internet.fr
Merci beaucoup et à bientôt (toutes les générations
sont également bienvenues mais le tutoiement est de rigueur
... Bes slama alikum !" (Lundi 9 Novembre 1998)
Philippe
de VIZCAYA (Maroc)
"Félicitations pour votre site de la part du directeur
général de l'hôtel El Minzah. Je reste à
votre disposition pour tout autre renseignement." (Mardi 10
Novembre 1998)
Oussama ZEKRI :
Le retour des coprophages.
"Vendredi
6 Novembre 1998, la chaîne de télévision franco-allemande
ARTE a diffusé un "documentaire" intitulé : Les
fantômes de Tanger. Ce film reproduit jusqu'à la
caricature la détestable image de Tanger qui est véhiculée
par des "auteurs" de passage qui cherchent surtout à faire
parler d'eux.
Le réalisateur, Edgardo Cozarinsky, avoue dans un surprenant
accès de lucidité, ses interrogations quant au "vide"
de sa vie intellectuelle présente. Hélas, ce commentaire
pertinent vient à la fin du film. Il aurait cependant pu
susciter notre sympathie envers Monsieur Cozarinsky s'il avait
trouvé autre chose de mieux à faire que de prendre
cette pauvre ville comme décor d'une entreprise narcissique
et exhibitionniste d'une rare médiocrité.
Le film, qui dure tout de même 1 heure et demie, est
totalement décousu et incompréhensible sauf à
considérer que le sujet principal n'est autre que le réalisateur
lui-même. L'intérêt suscité par les
premières images donnant à découvrir des
lieux et des personnages prometteurs s'estompe rapidement pour
laisser place à un malaise. L'on se surprend à se
demander où il veut en venir. S'agit-il de retracer pour
la énième fois, le parcours des écrivains
de la Beat Generation dont Tanger fut l'un des lieux de prédilection
? Ou bien s'agit-il d'une promotion pour un Tour Operator spécialisé
dans le tourisme séxuel ? Ou alors, fallait-il se dépêcher
de filmer Paul Bowles sur son lit (de mort ?) afin de devenir
l'un des derniers à l'avoir approché ?
Si l'objet de ce film est difficile à saisir, sa méthode
en revanche, est très claire : se gaver (sans prendre le
temps de digérer) de monceaux de littérature, grapiller
les miettes rassies de quelques écrivains reconnus, ajouter
une pincée de persiflage convenu sur la minuscule Jet Set
locale, saupoudrer de quelques scènes onirico-raccoleuses
et pour la touche finale, un soupçon d'indignation politiquement
correcte sur les "wet backs" du vieux monde qui, curieusement,
sont tous de jeunes garçons.
Décidément, ce film ne ressemble à rien
; probablement parce que sont auteur n'a rien à dire. Mais
alors, pourquoi fallait-il que cela tombe sur Tanger ?
Cette ville est habituée à ces productions qui,
périodiquement, revisitent la vie et l'oeuvre de Paul Bowles
et de ses collègues. Elle a fini par ne plus s'offusquer
que l'on utilise son nom comme leit-motiv de ce courant littéraire.
Elle s'était auparavant fait une raison de se voir utilisée
dans le cinéma d'après-guerre comme décor
pour des histoires d'espionnage, de contrebande et de traite de
blanches.
Si ces productions étaient généralement
des séries B, elles avaient néanmoins évité
de sombrer dans la vulgarité. Cozarinsky lui, y plonge
avec délice. Tanger ne le méritait pas.
Cette ville qui a de tous temps, accueilli des artistes de
tous horizons, dont certains ont marqué l'histoire des
arts (Delacroix, Matisse, Saint-Saëns, Kessel et bien d'autres
...) a joué de malchance en attirant l'attention des "Beat".
Ces écrivains, dont certains possédaient un réél
talent littéraire, étouffaient dans le puritanisme
oppressant de la société américaine de leur
temps. Ils ont trouvé refuge dans une ville qui vécut
durant un demi-siècle dans une absence totale de réglementation,
en particulier du commerce. Ce que partout dans le monde était
considéré comme du trafic et de la contrebande,
était jugé licite par l'administration internationale
de Tanger.
A ce climat de liberté totale pour les ressortissants
des grandes puissances s'ajoutait la misère d'une grande
partie de la population marocaine. Les écrivains "Beat"
ont trouvé là, des conditions idéales pour
satisfaire, à bas prix, leurs penchants pour la toxicomanie
et la prostitution. Le succès de certains de leurs livres
a suffi à associer, dans l'imaginaire occidental, Tanger
à leur mode de vie "particulier" et ce, jusqu'à
aujourd'hui.
Depuis les années quarante, l'image de Tanger se trouve
donc prisonnière de ce cercle vicieux que continuent d'alimenter
des auteurs en mal d'inspiration. Ils continuent de recycler les
mêmes vieux clichés éculés espérant
par là, récolter des poussières de la gloire
de leurs aînés.
Tout ceci est injuste envers Tanger. D'autant plus, que cette
ville, unique à plus d'un titre, présente une multitude
de raisons de s'y intéresser : historiques, géographiques,
culturelles, humaines ... Des artistes recommencent d'ailleurs
à s'y installer : peintres, sculpteurs, designers, architectes,
écrivains ... qui portent un regard neuf et profond sur
cette ville et ses habitants. Espérons que ce regain d'intérêt
chez des gens de qualité conjugué à l'émergence
de talents parmi la jeunesse locale permettra de rendre justice
à cette ville que nous aimons tant.
En attendant, nous ne pouvons que constater la justesse du
dicton marocain : "Seules les noix gâtées font du
bruit."
(Jeudi 12 Novembre 1998)
Georges
SOLBES (Mexique)
"Mon nom est Georges Solbes (Jojo). Je suis né a Tanger
en 1944 et y ai passé toute ma jeunesse (j'ai quitté
Tanger en 1966). Toutes mes études au Lycée Régnault
(bac en 1965) où mon père M. Claraz etait prof. d'education
physique. Je vous félicite pour votre page! Cela aide à
maintenir vivantes les images de notre ville que nous avons tous
tellement à coeur! Merci pour votre dédication. Georges."
(Jeudi 12 Novembre 1998)
Marie
SUBRA (France)
"Nous sommes étudiants dans une école de commerce
à Bordeaux, et nous voudrions organiser un échange
avec une école de commerce de Tanger. Si vous avez des suggestions,
des conseils et si vous êtes intéressés, contactez-nous
sur notre e-mail : marimili98@yahoo.com"
(Vendredi 13 Novembre 1998)
Fatima
El BOUZIANI (Maroc)
"C'est vraiment très original comme idée. Quoique
je ne sois pas née tangéroise, je me considère
quand-même une vraie tangéroise et tout ce qui touche
de près ou de loin Tanger me concerne." (Vendredi 20
Novembre 1998)
Michelle
NIKLY (France)
"Tout à fait d'accord avec votre message à propos
de l'émission de télé récente. J'ai
été très frustrée de ne rien reconnaître
d'une ville où j'ai passé les trois années
les plus décisives de mon enfance.Que des lieux communs éculés,
aucune vision originale, rien qui ne soit artificiel ou surfait."
(Lundi 23 Novembre 1998)
Mohamed
SOULLAMI (Belgique)
"Tout d'abord, un grand bonjour à vous tous et de très
chaleureux encouragements au concepteur de ce site. Que dire de
plus sur Tanger si ce n'est en parler avec beaucoup d'émotion
car elle demeure pour moi la ville de mes ancêtres et celle
vers laquelle je retourne chaque année que Dieu fait. Depuis
ma plus tendre enfance, je voue une grande admiration à cette
ville et cela malgré la beauté de tant d'autres villes
du Maroc. N'etant pas très agé, je n'ai pas eu la
chance, comme mes parents, de connaître Tanger durant
les années 40-50. Cependant, mes quelques décennies
de vie m'ont permis de voir évoluer cette ville et peut-être
pas toujours dans le sens qu'on souhaiterait. Comme j'ai pu le lire
précedemment, il serait fort agréable d'enrichir ce
site de nombreuses photographies car l'image reflète formidablement
la chaleur de Tanger. Pour ma part, nous habitons dans les environs
de SABILAH DE J'MAA (près de MARSHAN ). J'espère vous
lire bientôt et vous souhaite à tous de chaleureux
séjours à Tanger." (Mardi 1er Décembre
1998)
Elie
BENCHETRIT (Canada)
"Ancien du Lycée Regnault, j'adresse mes amitiés
à Oleg Vargas et Jojo Solbes. Tous deux ont été
mes camarades de classe. J'attends des nouvelles. A bientôt!"
(Mardi 1er Décembre 1998)
Elie
BENCHETRIT (Canada)
"Cher ami Oussama, bravo pour ce site typiquement tangerois.
Grâce a lui j'ai pu retrouver ... déjà 2 anciens
camarades du Lycée Régnault. Bonne continuation et
à bientôt, je l'espere. Un tangerois toujours amoureux
de sa ville." (Samedi, 5 Décembre 1998)
Jacqueline
RAYMOND (France)
"Bonjour aux anciens tangérois dont certains noms me sont
familiers, en particulier Jojo SOLBES (je me souviens bien de ton
père) et Oleg VARGAS. Ce serait sympa de rester en contact
et de retrouver des anciens de l'époque. J'ai passé
mon BAC en 62 sciences ex. Mon adresse e-mail est : jraymond@monoprix.fr"
(Mardi 8 décembre 1998)
Nadia
SHITA (Norvège)
"Salut a tous! La premiere de Norvege? Bon, comme disent les
americains : Better late than never! Très ravie de savoir
que les tangérois ont un lieu de contact. Je n'ai jamais
vecu au Maroc mais, je me sens 100% tangéroise, sans aucun
doute! Beslama!" (Mardi 8 décembre 1998).
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